Arts Martiaux Il y a 4 produits.

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  • Aikido

    L'aïkido (合気道, aikidō?) est un art martial japonais (budo), fondé par Morihei Ueshiba O sensei entre 1925 et 1969[réf. nécessaire]. L'aïkido a été officiellement reconnu par le gouvernement japonais en 1940 sous le nom d’aikibudō1 et sous le nom Aikido en 1942 donné par la « Dai Nippon Butoku Kai », organisme gouvernemental visant à regrouper tous les arts martiaux japonais pendant la guerre. Il a été créé à partir de l'expérience que son fondateur avait de l'enseignement des koryu (écoles d'arts martiaux anciennes), essentiellement l'aikijutsu de l'école daitō ryū et le kenjutsu2 (art du sabre japonais). L'aïkido est né de la rencontre entre ces techniques de combat et une réflexion métaphysique de Morihei Ueshiba sur le sens de la pratique martiale à l'ère moderne.

  • Judo

    Le judo (柔道, jūdō?, littéralement voie de la souplesse) a été créé en tant que pédagogie physique, mentale et morale au japon par Jigorō Kanō (嘉納治五郎) en 1882. Il est généralement catégorisé comme un art martial moderne, qui a par la suite évolué en sport de combat et en sport Olympique. Sa caractéristique la plus proéminente est son élément compétitif dont l'objectif est soit de projeter, soit d'amener l'adversaire au sol, de l'immobiliser (Techniques de maîtrise), ou de l'obliger à abandonner à l'aide de clés articulaires et d'étranglements. Les frappes et coups à main nue ainsi que les armes font aussi partie du judo mais seulement sous la forme pré-arrangée (kata, 形) et ne sont pas autorisés en judo de compétition ni en pratique libre (randori, 乱取り).

  • Jiu Jitsu

    Le ju-jitsu, ou jūjutsu ou encore jiu-jitsu (柔術, jūjutsu?, littéralement : « art de la souplesse » ), regroupe des techniques de combat qui furent développées par les samouraïs durant l'époque d'Edo. Elles enseignaient aux samouraïs et aux bushis à se défendre lorsque ceux-ci étaient désarmés lors d'un duel ou sur le champ de bataille.

  • Kali Arnis Escrima

    Le Kali Arnis Eskrima (parfois abrévié en KAE) est un groupe d'arts martiaux faisant partie de la branche du silat originaire des îles Philippines dit silat FMA pour "filipino martial arts".
    Bien qu'il ait une composante mains nues, l'entrainement est axé principalement sur le travail des armes (bâtons, couteaux et lames de tailles intermédiaires mais également parfois suivant les écoles bâtons longs, lances, fouets, sarongs, haches, armes de jets…).

  • Karaté

    Le karaté (空手道, karate-dō?) est un art martial, dit japonais. Cependant, son origine est okinawaïenne (l'île principale de l'archipel des Ryūkyū), qui a longtemps constitué un royaume indépendant du Japon, au sud de l'île de Kyūshū.
    En 2020, le karaté deviendra sport olympique lors des XXXIIe Olympiades à Tokyo3.

  • Kempo

    Le kenpō (拳法?) est un mot japonais qui signifie « méthode du poing », parfois traduit à tort par « loi du poing ».

  • Kendo

    Le kendo (剣道 / 劍道?, littéralement « la voie du sabre ») est la version moderne du kenjutsu (剣術?, techniques du sabre), l'escrime au sabre pratiquée autrefois au Japon par les samouraïs. Par version moderne, il faut comprendre que le kendo n'est pas seulement un art martial mais également un sport de compétition, aujourd'hui largement pratiqué au Japon.

  • Kung Fu

    Kung-fu (prononciation en français de France : /kuŋfu/écouter, en français québécois : /kɔŋfu/écouter) est en Occident le nom généralement donné aux arts martiaux chinois externes comme internes, bien que l'on utilise rarement ce terme pour désigner le taiji quan.

  • Kobudo

    Le terme kobudō (古武道?) venant des trois caractères chinois ayant gardé le même sens en japonais ; ko (古) qui signifie « ancien », bu (武), « martial », et dō (道) « la voie ». L'acception moderne du terme recouvre toutes les pratiques d'armes associées aux arts martiaux japonais.

  • Iaido

    L’iaidō (居合道?) est un art martial d'origine japonaise basé sur l'action de dégainer le sabre et de frapper (de taille ou d'estoc) en un seul geste. Plus exactement, le but est d'exécuter une technique, avant l'adversaire, choisie en fonction du lieu et du contexte de la situation. Tout comme pour les autres budō, cette discipline se focalise principalement sur la perfection des mouvements et la démarche spirituelle (influence du zen), l'efficacité technique, quant à elle, devient de plus en plus importante au fur et à mesure que le pratiquant augmente en grade.

  • Ninjutsu

    Le ninjutsu est un ensemble d'arts et techniques d'origine traditionnelle, pratiqués par certains espions du Japon féodal, les shinobi, plus connus en Occident sous le nom de ninjas. De nos jours, de nombreux styles d'arts martiaux modernes se réclament du ninjutsu, mais à l'origine il ne s'agit pas tant d'un art martial que d'un talent d'espionnage fait de ruse et tromperie. Cette discipline particulière était enseignée dans certaines écoles traditionnelles japonaises, généralement à côté et en complément d'arts martiaux.

  • Qwankido

    Le Qwan Ki Do (« La voie des énergies corporelles»), également transcrit Quan Khi Dao, est un art martial créé en 1981 en France à Toulon (Club du C.A.M Quan Ky Toulon) par Maître Pham Xuân Tong. Le Qwan Ki Do trouve son origine dans des techniques issues des arts martiaux chinois et des arts martiaux vietnamiens. C'est donc un Art Martial Sino-Vietnamien.

  • Taekwondo Hapkido

    Le taekwondo est un art martial d'origine sud-coréenne, dont le nom peut se traduire par La voie du pied et du poing
    Le taekwondo, dont le nom a été proposé en 1955 par le général Choi Hong Hi, est le fruit de la fédération progressive, à partir des années 1950, après l'occupation japonaise de la Corée, de différentes écoles d'arts martiaux coréennes qui enseignaient le karaté. Sa création et son développement sont intimement liés à la promotion du nationalisme étatique coréen. L'unification n'est cependant pas complète car deux grandes fédérations cohabitent encore, l'International Taekwon-Do Federation (ITF), qui revendique actuellement 50 millions d'adhérents, et la Fédération mondiale de taekwondo , qui a popularisé auprès de plus de 80 millions de personnes une pratique du taekwondo moins axée sur la self-défense et plus sur le sport de combat, interdisant notamment les coups de poing au visage.

  • Tai Chi Chuan - Qi Gong

    Le tai-chi-chuan ou tai chi ou taiji quan 1 (chinois simplifié : 太极拳 ; chinois traditionnel : 太極拳 ; pinyin : tàijíquán Prononciation du titre dans sa version originale Écouter ; Wade : t'ai⁴chi²ch'üan² ; cantonais Jyutping : taai³gik⁶kyun⁴ ; cantonais Yale : taaigihkkyùhn ; littéralement : « boxe du faîte suprême », également prononcé en japonais taikyoku ken) est un art martial chinois dit « interne » (neijia) souvent réduit à une gymnastique de santé. Il peut aussi comporter une dimension spirituelle. Il a pour objet le travail de l'énergie appelée chi.

  • Viet Vo Dao
  • Yosekan Budo

    Le Yoseikan Budo (養正館武道, Yōseikan budō?) est un art martial développé à la fin des années 1960 et fondé officiellement en 1975 par Hiroo Mochizuki, né en 1936 à Shizuoka (Japon) et fils de Minoru Mochizuki à qui il doit l'essentiel de ses connaissances. Cette méthode originale met en évidence la logique commune entre les différentes techniques de combat à mains nues ou avec armes fil conducteur appelé « mouvement ondulatoire ». La puissance du corps tout entier est sollicitée puis transmise à un membre ou une extrémité, par un mouvement d’onde. Ceci permet d’optimiser la puissance et l’efficacité de tout mouvement.

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